Qui sont les 5 parieurs sportifs les plus riches du monde ? Jaloux ? Voyons comment vous aussi vous allez pouvoir vous enrichir !
Vidéo publiée le 26/12/2020
Dernièrement j’ai regardé la cinquième saison de Peaky Blinders.
Cette série qui relate le quotidien d’une bande de gangsters dans la période d’entre deux guerres aborde notamment les paris illigaux et les premiers bookmakers.
C’est cette série qui m’a inspirée la vidéo d'aujourd’hui dans laquelle vous allez découvrir les 5 plus grands parieurs sportifs au monde.
Les paris sportifs ne datent pas d’aujourd’hui, cela fait très longtemps qu’ils existent.
Certains paris avaient été interdits en France, mais tout est légal aujourd’hui.
Si de plus en plus de personnes se mettent à parier sur le sport, c’est parce que c’est un véritable moyen de gagner de l’argent facilement.
Oui, il est possible de gagner énormément d’argent grâce aux paris sportifs.
C’est d’ailleurs, ce que je m’apprête à vous prouver dans cette vidéo.
Découvrez ici le top 5 des parieurs sportifs les plus riches du monde.
Restez très attentifs car leurs histoires sont très passionnantes et vous pourrez en apprendre énormément sur les paris sportifs. Restez surtout jusqu’à la fin pour découvrir l’histoire particulière de Bill Benter en lien direct avec valuebetennis ! Vous allez voir c’est stupéfiant car vous pouvez suivre son propre parcours !
Sa fortune serait évaluée à 15 millions de dollars et il n’aurait pas connu une seule année perdante depuis près de 40 ans… Billy Walters, c’est celui que le monde entier considère comme le meilleur parieur professionnel de tous les temps,
Il vit aujourd’hui dans une luxueuse maison aux Etats Unis et voyage en jet privé. Mais avant de connaître cette vie de prince saoudien, Billy n’était qu’un parieur comme tant d’autres, misant selon ses humeurs…
Au début des années 80, Billy rencontre un groupe d’informaticiens travaillant sur un logiciel pouvant calculer les statistiques lors d’une rencontre sportive. Sous le nom de « Computer Group », ce collectif se crée une cagnotte et mise uniquement sur les statistiques d’un match, faisant presque abstraction des données sportives. Après quelques ajustements sur le logiciel, les gains décollent et la cagnotte gonfle à vue d’œil, à tel point que les bookmakers n’acceptent plus d’enregistrer les paris du groupe d’amis. Arrive alors Billy Walters dont la mission est de faire la tournée des bookmakers pour enregistrer plusieurs paris et permettre de continuer l’aventure.
Malin, l’homme parie pour le groupe mais également pour son propre compte. Et lorsque le groupe est mis à mal par le FBI, Billy va se servir de ses connaissances et de son pécule pour continuer à parier.
Sa carrière solitaire est un véritable succès. L’homme, connu de tous, utilise sa notoriété pour gagner encore plus. Billy n’hésite pas à parier sur une équipe qu’il pense perdante afin de faire monter la côte de celui en qui il croit vraiment. Evidemment, au dernier moment, c’est sur cette dernière qu’il va miser encore plus gros. Osée mais gagnante, cette technique lui rapporte fréquemment des sommes faramineuses. À noter toutefois qu’il a eu quelques déboires avec la justice ces dernières années.
Après deux mois de présence ininterrompue et 2,46 millions de dollars de gains, il a échoué à 58 484 dollars du record absolu, établi en 2004 par Ken Jennings, un ingénieur informatique.
Ironie du sort, ce diplômé en mathématiques n’a pas perdu sur une mauvaise réponse mais parce que sa concurrente avait gagné plus d’argent que lui lors de l’émission du jour.
Alors quel lien avec les paris sportifs ?
Jeopardy ! consiste à retrouver la question qui correspond à la réponse proposée par le présentateur avec, à chaque fois, une somme d’argent à gagner.
Il faut effectivement avoir une solide culture générale et appuyer très rapidement sur le buzzer.
Mais ce qui intéressant pour nous ici c’est le profil de Holzhauer qui a aussi bénéficié de son expérience de parieur, spécialisé dans les rencontres sportives.
En effet, lors de chaque émission, les candidats doivent en miser, à deux reprises, un montant de leur choix (jusqu’à la totalité de leurs gains) sur une question.
Lui, il a déclaré :
« Je peux miser une somme à cinq chiffres et ne pas ressentir trop de pression », « alors que le candidat moyen va peut-être transpirer. Il ne pourra pas se concentrer sur une question avec trop d’argent en jeu. »
Du coup ce qui a fait son succès c’est de mettre le paquet lors des deux temps forts de chaque partie, les Daily Double et le Final Jeopardy !, qui permettent d’augmenter fortement les gains mais avec le risque d’en perdre tout ou partie.
Ce que vous devez retenir ici vous pour votre pratique c’est de bien gérer vos émotions mais aussi votre mise
La majorité de ses gains provient justement de son activité de boobkmaker.
Pour lui il ne faut «jamais parier avec le cœur. »
Pour gagner à tous les coups, pas besoin de tuyaux douteux : Il s’appuyait sur la seule puissance de modèles mathématiques prédictifs élaborés par ses propres soins.
Aujourd’hui, c’est tout un bataillon d’analystes informatiques qui travaillent dans un immense hangar londonien pour cet original de 47 ans. Ils sont réputés pour décortiquer les moindres actions de jeu avant de les réassembler en formules divinatoires.
Il croit fortement aux statistiques et aux mathématiques avancées.
Pour vous quelle est la morale de cette histoire ?
Le big data est devenu incontournable. Vous devez vous aussi vous y mettre
Vous allez me dire que pour Mathew benham il a surtout fait sa fortune en tant que bookmaker.
Laissez-moi alors vous présenter le 4 ème parieur de ce classement
La société fait en moyenne un chiffre d'affaires de 125 millions de dollars par an.
Grâce aux paris sportifs, Bloom a pu réaliser un rêve de toute une vie. Il a acheté le club de football préféré de son enfance, le Brighton FC, en 2009. Bloom a été un fan inconditionnel de Brighton toute sa vie, et il a été bien accueilli par les fans du club.
Bloom vaut plus d’un milliard de dollars à ce jour.
Vous comprenez donc qu’il est possible de réaliser ses rêves grâce aux paris sportifs.
Né en 1957 en Pennsylvanie, aux États-Unis, Bill Benter est un parieur sportif professionnel et grand mathématicien. Sa fortune vient principalement des paris sur les courses de chevaux. Ce n’est cependant pas son seul champ d’action. Son histoire va bien au-delà.
En effet, dès l’âge de 22 ans, il décide de quitter l’université et déménage à Las Vegas. Dès son arrivée, il est repéré par le dirigeant d’une équipe de comptage de cartes, Alan Woods. Les 2 forment alors un partenariat qui fut très lucratif. Mais, leur entreprise s’effondre très rapidement au début des années 80.
Ils ont été ajouté sur la liste noire de presque tous les casinos de Las Vegas. C’est fut un coup dur mais aussi, une expérience bénéfique pour Bill Benter. En effet, l’équipe de comptage de carte s’étant effondrée, Bill Benter quitte le Casino et se lance à l'hippodrome. Bill et Woods ont vu une grande opportunité dans la course de chevaux à Hong Kong et l’ont saisi.
Comment Bill Benter a procédé pour gagner tant d’argent ?
Bill a d’abord lu tous les livres qui existaient sur le betting dans les chevaux de course.
Mais rapidement il a souhaité quelque chose de plus rigoureux, de plus mathématiques.
C’est pourquoi Benter a appris lui-même des statistiques avancées et il a aussi appris à écrire des logiciels sur un ancien ordinateur (vous savez avec un écran vert et noir)
La troisième phase a consisté dans les backtests.
Il a embauché des dactylographes pour saisir une pile d'annuaires contenant les résultats de milliers de courses.
Il a ensuite commencer à tester en live par des petits paris pour corriger et améliorer au fur et à mesure son modèle.
Il a rajouté par la suite le modèle de gestion de John Kelly qui consiste à miser un pourcentage de son capital en fonction de la confiance dans le pronostic.
Bill Benter appliquait aussi des filtres . C’est-à-dire qu’il commençait en étudiant toutes les variables qui comptent concernant le cheval puis il n’en conservait qu’un vingtaine.
D’ailleurs il y aune anecdote croustillante par rapport à cela. Car au début il pensait que la météorologie influait sur les courses. Il est donc aller rechercher les archives météorologiques pour rentrer toutes ces données dans son algorithme et il s’est très vite rendu compte qu’il n’y avait aucune corrélation.
Il a été aussi malin car il a préféré utilisé les cotes bookmakers comme base dans son calcul que plutôt d’établir lui-même à partir de zéro sa propre cote.
Bref, Il avait compris quelque chose d’essentiel : c’est que quand personne ne détient un algorithme de prédiction, c’est une mine d’or lorsque vous-même vous possédez le votre.